
18 250 jours... ou plus, ou moins
Quelqu’un me disait ce matin : « Ah ! La vie est trop courte, je n’ai pas assez de temps ! » Il me semble que cette impression de manquer de temps dépend de notre façon de l'occuper. Imaginez que vous soyez condamné à mort et qu’à l’aube de la journée de votre exécution on vous annonce un sursis, une grâce de 18 250 jours. Ce serait merveilleux n’est-ce pas ? Un sursis de 50 ans, ce n’est pas mal ! Le fait est que nous sommes tous condamnés à mort. Ce qui nous empêche de pro